vendredi 3 décembre 2021

Le site du secteur ouest d'Orléans est en ligne !

 Désormais, vous pourrez retrouver toues les infos du secteur sur le site : 

https://catholique-ouest-orleans.fr/



Samedi 11 décembre : l'Horloge de prière

 OBJET : faites retraite avec les Jeunes de Kephas grâce à l'horloge de prières !


Chers paroissiens, 

 

Nous avons une très bonne nouvelle à vous annoncer : le 11, 12 décembre une vingtaine de jeunes de KEPHAS, l’aumônerie de l’enseignement public de notre secteur, qui vont recevoir la confirmation, vivront une expérience de retraite !

 

Le thème choisi est « J’ai confiance en toi ! ».

 

A travers le visionnage du film Intouchables, les jeunes découvriront que pour chacun d’eux il y a une place dans notre Église, la nécessité d’avoir une communauté qui les soutienne et que Jésus leur fait confiance et les accompagne tout au long de leur vie. Il s’agit d’un moment important pour la vie spirituelle de ces jeunes.

 

Pour cela, il est nécessaire de les accompagner par la prière ainsi que l’équipe d’animateurs qui portera cette retraite.

 

Pour nous aider, nous vous proposons une chaîne de prières, une « horloge de prières ». Vous serez les sentinelles qui veillent pour le salut du monde et la bonne réussite de la retraite.




Le Seigneur nous fait confiance, portez-nous dans vos prières. Le Seigneur a besoin de sentinelles qui veillent pour le salut du monde. 

Père Giuseppe 

dimanche 31 octobre 2021

Actualités du secteur ouest pour novembre 2021

 "85 paroissiens du Secteurs ont rejoint dimanche dernier l'équipe des jeunes de l'Aumônerie pour unir leur voix au temps de louange.

150 paroissiens ont assisté à la messe qui a suivi, à l'issue de laquelle l'équipe "pré-eap" a présenté ses travaux depuis deux ans, la synthèse de la consultation qui a été faite pendant l'été et les actualités qui font et vont faire vivre et bouger le Secteur Ouest."



vendredi 29 octobre 2021

messes du prochain week-end

Samedi 30 octobre 18h30 : messe à Bucy-Saint-Liphard
Dimanche 31 octobre à11h : messe à  Ingré 

Messe de la fête de la Toussaint et messe pour les défunts

Lundi 1er novembre 2021 : messe de la fête de la Toussaint à 11h à Ingré
Mardi 2 novembre : messe pour les défunts à 18h30 à Ormes

mardi 26 octobre 2021

Méditation du père Louis Raymond pour le 24 octobre 30ème dimanche ordinaire

 

Méditation du 24 octobre 30ème dimanche ordinaire

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Bartimée, dans sa détresse et sans doute dans sa foi, crie sa souffrance et son espoir  au passage de Jésus. C'est un peu comme une bouteille à la mer. Il n'a rien à perdre Bartimée. On voudrait bien le faire taire tant ses cris écorchent les oreilles des bien-pensants. Jésus n'est pas insensible à ces supplications qui viennent du coeur de la vie de cet aveugle. Et Jésus ouvre les yeux de Bartimée... Oui, mais il fait plus encore, il fait de Bartimée un disciple, un missionnaire qui ne va cesser de chanter la gloire de Dieu et de son Envoyé Jésus. Les cris de Bartimée représentent pour nous le cri du monde, le cri des hommes de ce monde. Sommes-nous attentifs à ces cris? Nous avons entendu les cris des victimes des abus de tout genre. Nous laissons-nous toucher et allons-nous vers ces victimes pour les écouter, les aider, leur permettre de trouver une place dans la société, dans l'Eglise dans un long temps de guérison? Nous entendons les cris de celles et ceux qui ont faim de pain, de reconnaissance, de partage. Les entendons-nous vraiment et quelle suite leur donnons-nous?

Bartimée, c'est l'image du monde, des hommes qui crient leur détresse et leur peur et qui, en même temps appellent au secours. Que savait-il de Jésus qui passait, Bartimée? Il avait déjà une foi débordante. Il interpelle Jésus comme s'il le connaissait depuis toujours: "Fils de David, Jésus, prends pitié de moi!" Quelle reconnaissance! Pour Bartimée Jésus était déjà le Messie annoncé, le Sauveur du genre humain. Et Bartimée ne sera pas déçu car Jésus s'arrête et lui donne ce qu'il a de plus précieux. Il lui donne la vue, il lui donne de voir cette belle création dans laquelle il évolue. Quel cadeau! Savons-nous, chaque matin nous émerveiller devant le lever du soleil, les couleurs qui habitent notre terre, les personnes tellement belles et bonnes que nous rencontrons? Savons-nous danser de joie devant la beauté de la nature et devant l'extraordinaire humanité que nous formons. Diverse et belle, elle nous donne des soeurs et des frères à aimer. Loin de tous nos masques imposés par la pandémie, les visages épanouis nous disent la grandeur de Dieu en son humanité.

Jésus aime l'humanité et ceux qui la composent. Son regard est bienveillant. "Que veux-tu que je fasse pour toi?" "Rabbouni, que je retrouve la vue." Et si nous posions les questions comme Jésus les pose! si nous posions à nos frères et soeurs cette question: "Que voulez-vous que je fasse pour vous? Que voulez-vous que l'Eglise fasse pour vous?" Au lieu de partir de nous, de l'église, si l'on partait vraiment des besoins exprimés par les gens, est-ce que notre Eglise ne retrouverait pas une place de choix? Est-ce que notre Eglise ne serait pas alors vraiment image du Christ? L'Eglise, dans cette lutte contre les abus, est bien obligée de se dire qu'elle a failli, qu'elle n'a pas été image du Christ. Non pas seulement à cause de la faute d'un certain nombre de personnes. Nous sommes pécheurs et nous le savons bien. Mais à cause d'un système qui a permis ces abus parce que l'Eglise ne voulait pas montrer ses failles. Elle se voulait pure et claire alors que des turpitudes se perpétraient en son sein. Nous ne pouvons que souhaiter aujourd'hui que cette même Eglise fasse place à tous ceux qui crient sur le chemin et qui mettent leur espoir dans le salut qu'elle peut apporter, celui de Jésus Sauveur, mort sur une croix par amour pour tous et ressuscité d'entre les morts pour nous donner une vie qui ne finit pas.

Regardons notre monde avec des yeux dessillés, ouverts, un coeur aimant et bienveillant. Donnons leur vraie place aux pauvres, aux petits, aux marginalisés. Accueillons le formidable don que sont les femmes et des hommes prêts a se donner, prêts à apporter une pierre à l'édifice. Il y a certainement bien des richesses cachées, des vocations à faire naître et grandir. Qui aurait pensé à Bartimée, cet aveugle? Jésus lui a donné cette chance de le suivre et de devenir son missionnaire.

Oui, notre Eglise peut être belle si tous ceux qui se croient marginalisés peuvent prendre leur place et témoigner. Oui, l'Eglise peut être belle si elle laisse Jésus lui ouvrir les yeux. Oui, elle peut être une maison sûre pour tous si elle accepte la vérité qui rend libre et heureux.

Homélie du père Louis Raymond pour le 17 octobre 2021

 

Homélie du 29ème dimanche ordinaire 17 octobre 2021

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S'il en était besoin, les évènements de l'Eglise, ces dernières semaines, nous ont rappelé combien il fallait que l'Eglise se réforme et en profondeur. Elle qui tenait parfois le haut du pavé est tombée de haut en regardant de près le rapport de la CIASE. Et l'Evangile d'aujourd'hui vient à point nommé. Il nous rappelle que l'Eglise ne peut être que servante. Elle ne peut donner des leçons puisqu'elle a montré combien elle pouvait être elle-même pécheresse, combien elle pouvait éprouver les plus pauvres, les plus petits parmi nous. Donc elle ne peut donner de leçons péremptoires comme elle a eu tendance à le faire. Mais elle doit se rappeler qui est son Maître et comment il est venu sauver le monde. Il s'est fait vulnérable, petit enfant. Il nous a sauvé en prenant la place de serviteur et sa mort pour nous sauver a été le partage dans le pire des supplices comme les brigands et ceux qu la société rejette. Aujourd'hui la question est posée: "L"Eglise accepera-t'elle de prendre la place du serviteur dans cette humanité ? Acceptera-t'elle de prendre le tablier pour panser les plaies de cette humanité?"

"Pour être premier, il faut servir!" J'ai devant moi l'image du Père Abbé d'un monastère lavant les pieds de ses frères à l'entrée du réfectoire. Ce n'est pas du folklore. C'est un geste profond qui montre qu'il est le Père de ses moines et qu'il est donc le serviteur. J'ai entendu un Père abbé qui a donné sa démission et qui se prépare, après quelques mois de solitude , à revenir comme simple moine dans  son monastère. Il soulignait combien le Seigneur l'avait surpris le jour de son élection et quel choc il avait pu ressentir. il était simple moine et tout à coup, il devenait le Père. Il fallait tout apprendre, et de la gestion d'un monastère, et du service qu'il devait rendre à chacun de ses frères. Et maintenant, après ces longues et nombreuses années, il fallait réapprendre à devenir un simples moine. J'ai été frappé par la sincérité de cet homme. Il a pris soin, pendant une trentaine d'années de ses frères. Aujourd'hui il continue sa vie monastique dans la prière, le silence, le service humble et pauvre.

SERVIR! Oui, l'Eglise que j'aime, c'est celle qui a mis son tablier de service de l'humanité maltraitée, humiliée, avilie parfois, toujours en quête du salut en Jésus-Christ. Nous avons l'habitude de nous signer, de faire sur notre corps ce signe de la croix, signe du service gratuit que le Christ a offert à l'humanité. Ce signe de la croix est notre emblème. Mais cette croix est devenue signe d'un amour total: "Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime." Le Christ, le premier-né de toute créature," a voulu nous montrer un chemin, lui le serviteur souffrant pour toute l'humanité. Ce service de l'humanité lui a coûté la vie. Et aujourd'hui encore des hommes, des femmes sont capables de donner leur vie pour que d'autres vivent. Nous le voyons chez ces missionnaires qui décident de rester dans des situations très dégradées et qui risquent la mort pour le peuple qu'ils sont venus servir. Nous l'avons vu avec les moines de Tibhirine et les martyrs de tant de pays où la haine était présente partout.

Nous-mêmes, nous sommes engagés pour que notre Eglise devienne de plus en plus servante  et pauvre. Il nous faut passer par le dépouillement. Le Christ est pauvre et nu sur la Croix. Et il nous l'a dit: "le disciple n'est pas au-dessus de son maître." Le service de l'humanité et le service de Dieu se confondent. Soyons de celles et de ceux qui n'ont pas peur d'être simplement serviteurs. En ce moment débute à Rome un évènement qui concerne toute l'Eglise, le Synode sur la synodalité dans l'Eglise. L'Eglise doit se remettre en cause. Elle doit se réformer et elle ne se réformera pas sans nous, sans la participation croissante des laïcs, des femmes en particulier. L'Eglise n'est pas d'abord une hiérarchie bien huilée, mais un peuple où chacun a une place et où les décisions sont collégiales. Faisons en sorte qu'à notre petit niveau ce soit déjà le cas. Prenons notre part de l'animation de nos communautés et soyons missionnaaires dans le monde.

Pour être de l'Eglise, il faut apprendre à SERVIR! AMEN!

dimanche 10 octobre 2021

homélie du père Jacques Pissier 28e dimanche B 2021

Lisez le rapport Sauvé, le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise, nous recommande notre évêque. Ne vous contentez pas de quelques titres et résumés de presse. Car nous devons d’abord entendre  les personnes victimes. Rarement la Parole de Dieu n’a été d’une telle actualité. Elle est vivante, la parole de Dieu, énergique et plus coupante qu’une épée à deux tranchants… elle juge des intentions et des pensées du cœur... nous aurons à lui rendre des comptes. Non que le rapport Sauvé soit parole d’Evangile, mais sa publication demandée par les Evêques et les Religieux de France nous provoque tous à faire la vérité. Celui qui fait la vérité vient à la lumière, dit Jésus. 
Nous pensons que la vérité s’apprend et se dit. Jésus dit qu’elle se fait. Comment ? Par une vie qui se remet en cause en permanence, pour chercher la plus grande cohérence possible avec sa parole. La Parole de Dieu est la présence du Christ en nous qui façonne notre cœur.
J’ai eu la chance pendant plusieurs années d’entendre des personnes séparées, divorcées ou remariées, j’ai découvert l’énorme difficulté pour mettre des mots sur leur souffrance, dont les racines peuvent remonter à leur enfance trompée ou abusée. Il nous faut prendre le temps d’une longue écoute sans jugement et nous y entraider, pour arriver à faire la vérité ensemble et devant Dieu.
L’évangile aussi nous appelle à l’action. Ecoutons la Sagesse de Dieu en la personne de Jésus.  Fais ceci et tu vivras. Voici que Jésus se met en route. Vers où ? Vers Jérusalem où il sera, par amour, dépouillé de tout.
Un homme court et tombe à ses genoux : Bon maître, que dois-je faire pour avoir la vie éternelle ? Que faire pour avoir ? Il oublie simplement que le ciel ne se mérite pas, il vient de Dieu le Père, la source de toute bonté, qui se reflète en Jésus. Jésus aime cet homme et son désir d’aller plus loin dans la sainteté. Il lui propose alors de le suivre, lui, Jésus, sur le chemin du détachement. Va, vends ce que tu as, viens, suis-moi. Sans doute trop dur à entendre pour le moment. Son cœur est accaparé par ses richesses, qui sont alors un obstacle à la vie éternelle, car nous finissons toujours par ressembler à ce que nous possédons.
Jésus nous invite à une pâque, un passage à sa suite : quitter une maison, des frères, s’arracher, se dépouiller, se désencombrer, se purifier, s’abandonner, se remettre en cause, voir la vérité… Trop dur ? Jésus ne retient pas cet homme, chacun doit avancer à son propre rythme librement. L’exigence évangélique est impossible aux hommes, mais pas pour Dieu, car tout est possible à Dieu. A condition de nous laisser façonner par sa parole. 
Seigneur, à quoi vais-je renoncer, pour te suivre ?        





































samedi 4 septembre 2021

Nouvelle grille de RCF

 Et si nous prenions le temps de mieux nous nourrir culturellement et spirituellement ?

Les mois passés confinés ont, en effet, mis en relief combien ces thématiques sont des éléments essentiels à nos vies.

RCF vous propose ainsi un programme riche de nouvelles émissions pour cette saison 2021-2022.

Semaine prochaine :

- Les rendez-vous de l'actualité locale sur RCF Loiret - du lundi au vendredi – JOURNAL LOCAL : 7h, 8h et 12h ; FLASH :  9h et 18h10 ; 3 QUESTIONS A : 7h40 et 12h10 

 

LA BIBLE COMME UNE HISTOIRE : la nouvelle émission qui retrace l’histoire sainte en récits pour les petits et les grands - Mercredi à 18h45 et dimanche à 17h

 

BONJOUR MONSIEUR LE MAIRE : le retour de l'émission inaugurée pendant le confinement qui tend le micro à un maire du Loiret - Jeudi 9 septembre à 18h13 et vendredi 10 septembre à 11h30

 

FENETRE OUVERTE : le retour de Mgr Blaquart - Samedi 11 septembre à 11h45 et dimanche 12 septembre à 9h

 

L’AGENDA DE PIAO : les idées de sorties du week-end - Vendredi 10 septembre à 12h20


Dimanche 5 septembre 2021

 Nous célébrerons le 23ème dimanche du temps ordinaire :

« Il fait entendre les sourds et parler les muets » (Mc 7, 31-37)
à Ingré : messe célébrée exceptionnellement SAMEDI 4 SEPTEMBRE à 18h30 à l'occasion de la fête patronale
à La Chapelle Saint Mesmin : messe célébrée DIMANCHE 5 SEPTEMBRE à 9h30 avec la participation d'une trentaine de jeunes de Kephas
à Saint-Jean-Baptiste (*) de St Jean de la Ruelle : messe célébrée DIMANCHE 5 SEPTEMBRE à 10h30
à Saint-Ay : messe célébrée DIMANCHE 5 SEPTEMBRE à 11h00 à l'occasion de la fête patronale

jeudi 2 septembre 2021

La rentrée à l'aumônerie Kephas

Samedi 11 septembre de 14h00 à 17h00 : inscriptions à kephas
16 Septembre : réunion d'informations et formation des équipes
26 septembre : messe des familles et de rentrée. 

samedi 28 août 2021

Homélie du père Jacques Pissier pour le 22ème dimanche ordinaire

Vous connaissez l’histoire du coiffeur ? Sur sa vitrine, il a écrit : Demain on rase gratis. Un client se présente : c’est aujourd’hui que vous rasez gratis ? – Non, demain ! Ca ressemble à certaines de nos résolutions : Demain je fais régime, je range ma chambre, je m’inscris à une formation, je prie dès mon réveil… Mettez la parole en pratique, ne vous contentez pas de l’écouter, ce serait vous faire illusion. Nous critiquons suffisamment les personnes qui disent de belles paroles ou font des promesses sans qu’on les voit passer aux actes, ou bien ceux qui vont à la messe et s’ignorent dès qu’ils sont dans la rue.
Mais comment savoir ce que Dieu attend de nous, ce qui est conforme à sa volonté ? Nous pouvons nous faire illusion, en prenant nos envies pour le désir de Dieu, ou nous justifier par des phrases de la Bible. Nous voyons Jésus défendre ses disciples critiqués par des pharisiens parce qu’ils ne se lavent pas les mains avant de manger : pour lui, ce sont des traditions des hommes. Il oppose l’apparence extérieure à l’essentiel, le sentiment intérieur, le cœur, et le commandement de Dieu à la tradition des hommes. 
Accueillez dans la douceur la Parole semée en vous. La Parole de Dieu est une semence qui fait son travail en nous et engendre le vouloir, si nous l’écoutons avec l’intelligence et avec le cœur. Les plus anciens, nous risquons de dire : ah oui, je connais, et de ne pas la laisser nous étonner. D’où l’importance de nous former toute notre vie à la lecture de la Bible, de nombreuses propositions existent autour de nous.
Dieu nous parle à travers les commandements, en particulier les deux qui, d’après Jésus, résument tous les autres : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur… Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Dieu nous parle par l’enseignement de l’Eglise, qui a pour mission d’éclairer les hommes par la Parole de Dieu, réfléchie par la Tradition depuis des siècles et actualisée par ses pasteurs. Les encycliques des papes, telles Laudato Si ou Fratelli tutti, Tous Frères, ont l’avantage d’être une lumière dans notre actualité.
Les appels de Dieu nous parviennent aussi à travers les évènements, des rencontres, des réflexions entendues qui sentent bon l’évangile. Une prière des époux dit : Apprends nous à te soumettre nos projets, à conduire jusqu’à toi les enfants que tu nous confieras. A chacun d’agir dans sa situation personnelle avec une conscience éclairée, en écoutant le Seigneur. Pour un achat important, un changement de travail, une décision concernant mon couple, l’inscription de mon enfant au catéchisme ou à l’aumônerie au milieu de la concurrence d’autres activités, il importe de ne pas laisser de côté le commandement de Dieu. Sans séparer les pratiques religieuses, la messe qui fait de nous des frères, disciples-missionnaires et l’appel à aimer le prochain, dont les réfugiés actuellement.
St Jacques ajoute : se garder sans tache, par exemple, en fuyant la pornographie ou les moyens douteux d’amasser de l’argent. 
Quelle parole vais-je retenir aujourd’hui ? Quel appel Dieu m’adresse-t-il ?
22e dimanche B 2021